VOTRE DÉPUTÉ

Une famille bien implantée dans la vallée de l’Arve
Né en 1970 à Chamonix, j’appartiens à une ancienne famille des Houches : le premier métier de mon grand-père, Maurice Roseren, né en 1888, était cordonnier, puis il a rejoint la compagnie P.L.M. en 1919.
Dernier né d’une famille nombreuse, je suis le fils de Cyprien et Marie-Claire Roseren qui ont créé aux Houches le magasin « Cyprien Sports ».
Marié et père de deux enfants de 13 et 14 ans, je suis moi-même commerçant depuis 1998 et travaille avec mon frère aîné dans un magasin de la vallée de Chamonix.
Une formation universitaire…
Après un DEUG de Mathématiques Appliquées et Sciences Sociales, option Économie à l’Université de Grenoble, j’ai obtenu à l’Université de Savoie d’Annecy une Licence, puis une Maîtrise d’Ingénierie Commerciale.
Maire de la commune des Houches depuis 2014
Engagé dans la vie des Houches, j’ai exercé plusieurs mandats locaux et vécu une riche expérience communale.
Après deux mandats d’adjoint au maire depuis 2001 et la vice-présidence de la Communauté de communes de la Vallée de Chamonix depuis 2009, j’ai constitué une équipe pour les municipales de 2014. Cette équipe renouvelée à 85 % a vite acquis les compétences nécessaires et son bon sens citoyen lui a permis d’agir avec la plus grande efficacité.
Cette expérience m’a conforté dans l’idée que la politique n’est pas un métier, mais un engagement temporaire au service de la société.
Parmi mes différentes responsabilités, celles qui m’ont tenu le plus à cœur et pour lesquelles j’ai acquis au fil des années une vraie expertise, sont celles relatives au tourisme, au développement économique et à l’environnement, trois sujets majeurs dans la vallée de l’Arve.
La fonction de Maire m’a permis de développer davantage mon sens de l’écoute auprès des élus, des agents et de mes administrés.
Un engagement dynamique et sportif…
Engagé tous les ans dans l’organisation de manifestations sportives comme l’Ultra-Trail du Mont-Blanc (UTMB), j’ai moi-même été “finisher”. Cette activité physique me permet de me maintenir en forme et de garder le dynamisme nécessaire à tout homme politique.
La suppléante du député, Pascale Faggianelli

Biographie
J’ai trois enfants de 22, 20 et 12 ans.
Je suis d’une famille de voyageurs et de curieux. Mes parents, ingénieur et professeur, ont travaillé longtemps en Afrique de l’Ouest, aux Comores et en Afrique centrale. Ils m’ont donné ce besoin d’ouverture sur le monde. Partager leurs expériences a fait de moi une Européenne convaincue et la certitude que « non » ce n’est pas forcément mieux ailleurs.
A la fin de ma formation de médecin, c’est Sallanches que j’ai choisi pour exercer. J’y ai pratiqué la gynécologie et l’obstétrique pendant 16 ans. Depuis deux ans, j’ai entamé une conversion professionnelle. J’ai repris des études de santé publique pour donner une dimension plus globale à ma passion de soigner et m’engager dans des défis importants pour le monde de demain : la préservation de l’environnement, la qualité de l’alimentation, les défis éducatifs avec ses grands enjeux de prévention des violences ainsi que l’égalité femmes-hommes.
Mon engagement
Je n’ai encore jamais fait de politique mais je suis très concernée par ses enjeux passionnants. J’aime l’Histoire qui nous permet en connaissant le passé de choisir notre futur.
Ces deux dernières années, passées entre travail et études, m’ont écartée de l’engagement que j’aurai aimé avoir.
Je partage l’idée de Xavier Roseren que la politique n’est pas un métier mais devrait être une forme encouragée de l’engagement citoyen par delà les clivages politiques stériles.
Mon expérience au service de notre projet santé
J’ai travaillé dans le secteur privé pendant mes premières années avec une activité mixte en attendant de pouvoir retourner pleinement dans le secteur public. Puis engagée dans une démarche de santé publique par une formation en master dans une école spécialisée je me suis formée sur deux ans.
Depuis mon arrivée dans la vallée :
-J’ai constaté une dégradation majeure de l’accès aux soins de proximité en particulier pour la gynécologie qui est ma spécialité. Mais d’autres spécialités sont en crise, la médecine générale, l’ophtalmologie, la pédiatrie.
-J’ai mis en place avec mes collègues de l’hopital de Sallanches une structure « Allô Sein » qui permet une prise en charge ultra personnelle de « coccooning » des patientes présentant un cancer du sein.
Ce projet a permis d’assoir une proximité exceptionnelle entre soignant et soigné qui est la base de la médecine.
– A la maternité, nous avons été parmi les premiers en France à développer l’utilisation des compétences élargies des sages-femmes comme de réels « praticiens de premier recours » pour répondre à la demande de soins de ce secteur. Car en 10 ans, dans notre circonscription, nous avons perdu presque la moitié de nos gynécologues mettant les femmes dans une situation difficile alors que la gynécologie de consultation est un pilier de la médecine préventive.
Cette année devant notre grande difficulté de recrutement j’ai lutté sans cesse pour attirer des gynécologues de qualité. Et je vous confirme que la situation est très fragile.
C’est fort de cette expérience que nous avons, avec Xavier formulé le projet pour la santé.