« En inscrivant la majorité d’entre eux dans la liste S1 bis, ce décret ne tient pas réellement compte de l’extrême dépendance de tous ces commerces à l’égard de l’activité touristique, ni de la très forte saisonnalité de cette activité (80 % de leur CA annuel est réalisé sur les 4 mois d’hiver, alors que les aides sont calibrées sur une activité lissée sur l’année).
A minima, il conviendrait rapidement de modifier ce décret en rendant tous les commerces de stations, quelle que soit leur activité, éligibles à la liste S1. »
Avec les associations d’élus, Xavier Roseren a également demandé une audience à  Bruno Le Maire afin d’échanger sur le sujet pour combler les trous dans la raquette.